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Comprendre la dette publique
22/09/2011 14:51
Ce petit article trouvé sur Youtube.
ATTENTION cette vidéos comportent quelques erreurs techniques (mais sans que cela impacte le message global), une autre vidéo est en cours de préparation pour corriger ce problème.
Apprenez en quelques minutes ce qu'est la monnaie fiduciaire, la monnaie scripturale, le système des réserves fractionnaires, et l'article 123 du traité de Lisbonne... sans lesquels il est impossible de comprendre l'origine des dettes publiques qui ravagent l'ensemble des pays développés.
http://www.youtube.com/watch?v=fIyPMzaK_Cc
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L’enfermement narcissique de l’Union Européenne
22/09/2011 08:26
Au fil des commentaires, la crise bancaire européenne a été l’occasion d’observer non pas le fonctionnement de l’Union mais la rhétorique qui l’enveloppe, mélange de désinvolture informative et de jugements péremptoires. Des mots nouveaux (eurobond) vrombissent dans les commentaires bien avant que leur sens ne soit éclairci. Des actes sont annoncés (les « rachats » de la BCE) sans être décrits. Reviennent surtout des prophéties de malheur jugées trop évidentes pour être démontrées, du type : « Avec l’euro, c’est l’Europe qui s’effondrerait », ou : « Avec le délitement de la zone euro, la situation serait incontrôlable » (comme si, maintenant, la finance était « sous contrôle » !). Foin des détails pourvu que lecteur ait son cours d’éducation européenne !
La difficulté de s’expliquer sur ses faits et gestes semble consubstantielle à une Europe confite dans son dogmatisme pratique. Ce à quoi il ne faut pas toucher, ce ne sont ni des principes ni des concepts, encore moins des buts, mais l’organisation elle-même, sanctuarisée par l’appellation de « construction ». Dans les périodes de flux, cette machine en développement apparaît portée par une bienheureuse fatalité. Mais, dans les crises, le déficit d’explication est un handicap : comment reformuler une visée qui n’a jamais été définie ?
L’Europe instituée se cramponne alors à ses emblèmes, à moins qu’elle ne passe à la contre-offensive en invoquant, comme actuellement, « l’urgence ». L’urgence permet non seulement de parer au plus pressé, mais aussi, comme disent les éditorialistes pieux, de « s’en sortir par le haut » ; en fait, de prendre argument de l’échec pour aller plus loin. On peut douter que cette démarche réactive convienne à une institution supposée représenter l’avenir. Ne se condamne-t-elle pas à être toujours occupée des effets de son passé ?
Ce passé, aujourd’hui, c’est la dette. Si on en confie la gestion à l’Union, nous explique-t-on, ce « pas en avant » fera oublier de possibles erreurs de conception. Enlever aux Etats la gestion de leur monnaie, n’était-ce pas leur faire croire sans danger des conduites aventureuses ? Priver les gouvernements de la possibilité de dévaluer, n’était-ce pas les exposer à la faillite ?
On oublie que la dette ne serait pas si lourde si l’euro avait répondu aux espoirs de croissance dans l’ensemble de sa zone. Cette déconvenue montre qu’on a eu tort de lier monétairement des économies très différentes et qui le sont souvent devenues encore plus. Pourtant, on ne critique pas le défaut de conception, on s’en prend à l’inconduite des gouvernements et des peuples, et l’on envisage qu’un pouvoir européen renforcé leur imposera non seulement des critères communs mais une politique commune. Ainsi avance l’Union. Mais est-on sûr qu’à dénier l’hétérogénéité des peuples celle-là ne reviendra pas, contournant ou paralysant les dispositifs prévus ? Cela peut se dire d’un mot : l’Europe est conçue comme un destin, le mot « destin » évoquant quelque chose de sacré, qui scelle l’histoire et surplombe les débats possibles. Cette auto-sacralisation narcissique explique que l’Europe instituée n’ait pas eu l’idée d’une stratégie devant les ambitions des nouvelles nations empires.
L’organisation européenne échappera-t-elle à une complaisance paralysante que le basculement du monde a rendu ridicule ? Ce passage de l’être à l’agir exigerait une double prise de conscience : à l’intérieur, celle d’une hétérogénéité non pas à neutraliser mais à mobiliser ; vers l’extérieur, celle des tâches qu’impose une mondialisation dont l’Europe n’est pas le centre, qui se déploie en une multitude de crises (économiques, écologiques, démographiques, migratoires, religieuses, spirituelles).
En fait, ce sont deux aspects de la même réorientation : cesser de se croire « la » solution. On semble ne plus croire que l’Europe donne à nos nations un supplément d’influence internationale. En revanche, on la loue de symboliser la rigueur. A-t-on raison ? La bonne voie de la rigueur est-elle d’acculer les peuples, de les priver de la marge de manœuvre nécessaire pour qu’ils aient confiance en eux-mêmes et anticipent les résultats de leurs efforts ? Cette nécessaire marge de manœuvre a évidemment un aspect monétaire. Que peut une nation si le cours de sa monnaie l’empêche d’accéder aux principaux marchés ? De nombreux exemples le montrent : entre la dévaluation et la remise en ordre intérieure, il n’y a pas toujours contradiction. Sans remonter à Poincaré en 1927 ou à de Gaulle en 1958, on constate que les pays donnés actuellement en exemple pour avoir réformé leur Etat et leur système de solidarité (Danemark, Suède, Finlande, Canada) l’ont fait après dévaluation.
C’est pourquoi on a pu préconiser que l’euro cesse d’être monnaie unique pour devenir une monnaie commune par rapport à laquelle le cours des monnaies intérieures aux nations pourrait être réajusté. Dire que ce serait la fin de l’Europe n’a de sens que si l’on se donne comme horizon une Europe talisman. Il faudra choisir entre cette Europe et une Europe des ambitions partagées grâce à une vie politique métanationale.
La seconde orientation s’impose pour une raison fondamentale : l’Europe se détruit elle-même en érodant et démoralisant les nations qui la composent. Sans évoquer la montée générale des populismes, on voit qu’en France la stratégie politique qui veut réformer au nom des exigences extérieures a échoué. La capacité d’intégrer les arrivants, celle d’éduquer, celle d’articuler les ambitions de l’élite et les valeurs populaires… n’ont jamais été aussi faibles. Le sentiment d’être contraint produit une perte de confiance collective, donc l’obsession des droits et de la plaignance. D’où notre paralysie, nos rétractions, nos fractures ethniques et sociales. Sans vue d’avenir, sans autre but qu’elle-même, l’Europe fatalité n’est pas un objet politique nouveau mais un objet antipolitique, une instance de contrôle et d’encadrement dont l’extension étouffe le civisme.
On nous a fait peur cet été avec le danger que l’Europe instituée n’« éclate », manière de nous faire oublier les effets de sa routine sans fin. Peut-on espérer que, nous libérant d’une obsession peu productive, la campagne présidentielle déborde le débat habituel, « plus ou moins du même », mais fasse apparaître cette nouveauté, une Europe qui se définisse selon des buts et non par toujours plus d’institutions.
Paul Thibaud
Philosophe et ancien directeur de la revue Esprit.
http://www.debout-la-republique.fr/L-enfermement-narcissique-de-l.html
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Ils voient des fascistes partout
21/09/2011 09:47
Je me permet de vous mettre cet article avec le lien. Il illustre parfaitement la bêtise de nos pseudo - intellectuels qui psychotent un peu trop au niveau du carafon. Peut être est ce une fascination de l'idéologie totalitaire, enfouie au plus profond de leur être porté comme une maladie honteuse, qui resurgie violemment par pulsion. Toujours est - il que je voulais dire ici qu'ils nous agacent, pour ne pas dire autre chose de peur d'être taxé par eux de populiste et donc... de Fasciste bien sur !
Astérix, national-socialix ?
« Tintin au Congo, BD raciste », on connaissait. Cette blague belge est inscrite dans notre patrimoine indignatoire depuis belle lurette. Ce qu’on savait moins, en revanche, c’est qu’il existe nombre de bandes dessinées nazies. Tour d’horizon :
Il y a quelques mois, un génie trop injustement méconnu répondant au nom d’Antoine Buéno publiait un Petit livre bleu dans lequel il livrait la quintessence de sa pensée politique. Pour lui, "la société des Schtroumpfs est un archétype d'utopie totalitaire empreint de stalinisme et de nazisme". Le grand Schtroumph ? Une représentation de Marx. La Schtroumphette ? Une potiche blonde dégoulinante d’une niaiserie toute antiféministe. Quant au méchant sorcier, ennemi juré des lutins bleus, il est laid, avare et affublé d’un nez crochu. Pour le prospectiviste (sic), la messe est dite : « comme les capitalistes occidentaux dans la propagande communiste, Gargamel est mû par la cupidité, l'intérêt égoïste et aveugle. Il a tout du juif tel que la propagande stalinienne le représente ».
L’histoire aurait pu s’arrêter là, et l’on aurait dit de Buéno « qu’il a tout du parfait charlatan tel que le bon sens populaire se le représente ». Hélas, l’homme a fait des émules. C’était au tour de Michel Serres, dimanche dernier, de vilipender une fable. Dans sa chronique du 18 septembre sur France Info, l’homme s’en prenait à Astérix et Obélix, héros d’un « album de revanche et de ressentiment », faisant systématiquement l’apologie de la violence sous stupéfiants (la potion magique) et typiquement fascistoïde dans son « mépris forcené de la culture ». Il est vrai que les libations des intrépides gaulois se passent souvent hors de la présence du barde, dûment attaché et bâillonné. On aurait pu y voir une dénonciation systématique et implacable des élégies mièvres de Francis Cabrel avant qu’il ne tonde sa moustache. Serres, lui, y décèle plutôt la Goering-attitude : « quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver ».
Et l’on se prend à trembler en se rappelant les horreurs qu’on a sans doute offertes à nos enfants. N’avez-vous jamais songé que le monde enchanté de Winnie l’Ourson, peuplé d’animaux interlopes, n’est peut-être qu’une allégorie de cette bestialité froide tapie en nous et qui ne demande qu’à surgir ? N’avez-vous pas entrevu que l’appétence de l’ursidé pour le miel et sa tendance à chaparder ce nectar n’étaient probablement rien d’autre qu’une apologie de la gourmandise et du vol, autrement dit d’un pêcher doublé d’un crime ?
Heureusement qu’il reste les poupées. A condition bien sûr qu’on évacue la célèbre Barbie, dont on n’a point encore élucidé le mystère de ses liens avec Klaus….
Coralie Delaume
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Nous ne sommes pas seuls
19/09/2011 18:51
Mon titre ne concerne malheureusement pas la découverte de civilisations extraterrestre, même si le sujet est presque aussi important puisqu'il s'agit du protectionnisme. En effet lors de sa dernière réunion l'association pour un débat sur le libre-échange vient de faire un nouveau coup en révélant un sondage nous montrant que le protectionnisme est maintenant majoritaire dans la plupart des pays européens. Et, chose plus surprenante, l'Allemagne, championne de l'excédent commercial, semble, elle aussi, touchée par cette vague. Il faut cependant relativiser ce sondage, car il se trouve que lorsque l'on regarde ce que la population pense de l'ouverture aux échanges est une bonne chose pour leurs pays respectifs, seuls les Français répondent massivement non. En effet dans cette étude, seuls 24% des Français pensent que le libre-échange est une bonne chose pour la France, alors qu'en Allemagne 62% estiment que l'ouverture aux échanges est une bonne chose pour l'Allemagne. En Grande-Bretagne le chiffre est curieusement bas avec 51% des Britanniques qui pensent que le libre-échange est bon pour la GB. Ce chiffre relativement bas pour le royaume des libre-échangistes forcenés s'explique probablement par la très forte détérioration de la situation de l'économie britannique. Chez nos amis italiens, il y a aussi un petit 51% de la population pour penser que l'ouverture aux échanges est une bonne chose pour l'Italie. Par contre dans tous ces pays le constat fait par la population est le même, ce n'est pas bon pour les salariés.

Cette remarque est importante parce qu'elle caractérise fondamentalement la réussite du bourrage de crâne néolibéral. En effet à l'exception des Français manifestement plus lucide, il semble que chez nos voisins européens on peut tranquillement affirmer que ce qui est mauvais pour les salariés, c'est-à-dire la très grande majorité de la population, peut quand même être bon pour le pays. En France il y a aussi un léger décalage entre le nombre de personnes pensant que l'ouverture aux échanges est bonne pour le pays et bonne pour les salariés. On trouve presque deux fois plus de français pour dire que c'est bon pour le pays avec 24% alors que seuls 13% des Français pensent que c'est bon pour les salariés. Cependant chez les Allemands par exemple on se retrouve avec 64% qui pensent que le libre-échange est bon pour l'Allemagne, mais seulement 42% pour dire que c'est bon pour les salariés allemands. Cet étrange paradoxe s'explique par imprégnation des idées néolibérales qui séparent production et consommation, salariés et consommateurs, exportateurs et importateurs. Dans l'esprit des Européens d'aujourd'hui la croissance n'est plus liée à l'amélioration de la situation des salariés. Un pays peut faire des gains de productivité, et en même temps avoir des salariés dont la situation se dégrade. Ce qui est le cas dans tous les pays d'Europe y compris l'Allemagne qui est le pays qui a le plus compressé ses salaires ces 15 dernières années.
Évidemment ce que les Européens ne voient pas c'est que cette situation, cette anomalie logique qui voit les créateurs des gains de productivité ne pas en bénéficier, ne fut possible que parce que certains pays ont pu s'endetter et creuser d'énormes déficits commerciaux. La remise des compteurs à zéro qui arrive à grands pas rendra caduque cette dichotomie étrange qui découple situation de l'emploi et santé de l'économie en général. Un jour ou l'autre, progrès économique et situation de l'emploi remarcheront ensemble, c'est inéluctable. Mais il faudra pour cela que les déséquilibres notamment commerciaux disparaissent.
Les Européens et le protectionnisme

La question du tableau ci-dessous nous montre encore une fois la pensée paradoxale des Européens. En effet dans leur grande majorité ils nous disaient que le libre-échange était bon pour leur pays, cependant ici ils jugent l'absence de protection douanière comme étant une mauvaise chose, même en Grande-Bretagne et en Allemagne. Cela confirme l'idée que les Européens sont dans le flou complet en matière de compréhension économique. Ils ont toutefois compris dans leur immense majorité que leur intérêt personnel n'était peut-être pas dans la continuation du libre-échange. On retrouve peut-être aussi ici le paradoxe du salarié-consommateur. Le citoyen qui d'un côté pense que le plein emploi et la hausse des salaires c'est bien, mais qui de l'autre s'inquiète aussi de la hausse des prix et de l'inflation que les hausses de salaire peuvent engendrer. Le message général de ces trente dernières années ayant présenté l'inflation comme le mal absolu pour TOUTE la population ce qui est rigoureusement faux surtout si l'on indexe les salaires sur la hausse des prix.
Il n'est toutefois pas étonnant de voir de telles contradictions. Après tout les élites européennes font elles aussi dans le contradictoire en prônant d'un côté le retour de la croissance tout en pratiquant des politiques d'austérités qui la détruise. Au moins les peuples d'Europe ont-ils compris que l'emploi et le libre-échange ne font certainement pas bon ménage. Quoiqu'en dise les vendeurs de soupe qui servent d'économistes mainstream. C'est d'autant plus vrai que l'Europe en plus des dégâts du libre-échange subit les errements de sa pseudomonnaie dont tout le monde commence à comprendre l'impossibilité de survie à long terme. L'euro d'ailleurs montre aujourd'hui sa vraie nature puisque le plus grand soutien à la monnaie unique provient des deux ennemies économiques du continent les USA et la Chine. Des pays qui ne cessent de vouloir empêcher l'effondrement de la monnaie unique. Les Chinois protègent l'euro avant tout pour éviter à leur commerce extérieur de s'effondrer au cas où les états européens dévaluaient, mais aussi pour sauver une partie de leurs avoirs en euro. Une dévaluation qui serait certaine pour bon nombre de pays si l'euro éclate. Et de l'autre les USA qui cherchent à protéger leur création, l'Europe, qu'ils savent condamnée si la monnaie unique disparaissait. Ce soutien continuel des deux super puissances devrait quelque part titiller les oreilles des Européens quant à l'intérêt réel pour eux de la monnaie unique. La réunion récente sur la question de l'euro où le représentant américain monsieur Geithner était invité, fut un grand révélateur de la réalité européenne. L'américain, cynique au possible, se permettant de critiquer les politiques européennes tout en soutenant la monnaie unique alors qu'il sait pertinemment que l'euro est en partie la cause de la crise européenne actuelle.
Il faut dire que la mort de l'euro serait fortement dommageable pour l'empire américain. Certes à court terme les USA pourraient attirer des capitaux en provenance d'Europe. En ces temps de déficits records, commerciaux et publics, voilà qui pourrait en apparence arranger les affaires de l'Amérique. Mais le drame pour les USA, c'est que les nations européennes une fois libérées de leurs deux boulets économiques, l'euro et le libre-échange, retrouveraient la croissance rapidement . Ce qui en quelques années anéantirait toute l'attraction potentielle des USA, et ce, à l'échelle planétaire. Loin d'affaiblir le continent, la mort de l'euro provoquerait certainement une amélioration économique, ne serait-ce qu'en produisant un ralentissement des exportations asiatiques sur le continent. Mais l'effet le plus grand serait surtout psychologique, car à l'image de leurs amis islandais les Européens auraient enfin l'occasion d'innover en matière de politique économique, d'aller dans des directions auxquelles ils n'auraient jamais pensé en temps normal. On pourrait ici parler de la monétisation de la dette par exemple. Cette libération des peuples d'Europe par la disparition de la marionnette de l'oncle Sam, l'UE et l'euro, pourrait donc engendrer une période d'euphorie sur le continent. Un continent qui d'un seul coup pourrait rattraper ces trois dernières décennies de croissance molle et de chômage de masse. Une fois, libéré des pesanteurs idéologiques, tout deviendra possible y compris, bien sûr, le protectionnisme. Un protectionnisme que les Européens, nous le savons maintenant, appellent majoritairement de leurs vœux.
Yann
http://lebondosage.over-blog.fr/article-nous-ne-sommes-pas-seul-84546802.html
Y
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Lénine avait raison
19/09/2011 18:46
« Lénine avait certainement raison : " Il n’y a pas de moyens plus subtils, plus sûrs de miner les bases existantes de la société que de vicier sa monnaie. Le procédé engage toutes les forces cachées des lois économiques dans le sens de la destruction, et il le fait d’une manière qu’aucun homme sur un million ne peut déceler." »
Cité par J.M.Keynes. Essays in Persuasion
http://ecodemystificateur.blog.free.fr/
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